Le 30 novembre décrétée journée de la râlerie !
Il y a un an, mon amie "virtuelle" Taka lançait sur son blog la 1ère Journée de la râlerie. Après tout, puisqu'on célèbre beaucoup de choses, pourquoi ne pas dédier un jour à ce qui énerve et l'exprimer ouvertement ? Fort de son succès, Taka récidive cette année et nous propose d'y participer encore plus nombreux. Alors lâchez vous, c'est le moment !!!
Le principe ? Yaka lire le speech de Taka ici. En résumé, chacun publie une bonne petite râlerie perso sur son blog, avec le logo et un lien vers le blog de la miss. Elle se charge ensuite de rassembler tout cela le 30 novembre sur son blog. Entre 2 articles sur une recette de cuisine dont elle a le secret, ou la dernière aventure de son cocker préféré, je sens que cette synthèse nous fera de nouveau beaucoup rire.
Il n'y a rien à gagner, c'est juste fun de participer !
Alors, alors, pour commencer la râlerie dont je ne vous parlerai pas...
On s'en est assez offusqué et on s'est tellement moqué du ridicule de la situation, via les réseaux sociaux et discussions en direct live entre amis claixois et autres, que je ne choisirai pas le refus définitif de mon permis de construire pour pousser ma râlerie.
Vous savez tous en effet déjà que je risquais de me noyer dans la petite extension du salon que nous avions prévue. Salon de plein pied, certes, mais dans une maison située en haut d'une butte à 2,50m au-dessus du niveau de la route (alors que je peux construire tout ce que je veux quelques centimètres plus loin sur les niveaux en pente et bas de mon terrain, qui eux ne sont plus en zone inondable). Par conséquent, pas non plus de chambre à coucher "au sec" qui devait être construite sur cette extension.
J'ai encore en mémoire l'expression de surprise de l'expert que nous avons mandaté pour confirmer le côté surréaliste du refus. Ses premiers mots furent, avant même de dire bonjour : "Euh.... ne me dites pas que c'est cette maison-là, c'est une blague ? Il n'y a aucun risque !" Ben non, ce n'était pas une blague... Juste un micro-pouillème de mauvaise volonté politique quelque part en "haut-lieu" dans la commune ? C'est en tout cas ce que l'expert et pas mal de gens du coin suggèrent. Ceux qui connaissent mon appartenance à un groupe d'opposition à l'équipe actuellement en place en sont certains...
Mais ce n'est pas de cela dont je voulais vous faire part...
Je préfère vous proposer la suite d'un hérissage de poils publié ici il y a quelques semaines :
Rappel de l'épisode précédent, cliquez sur ce lien : Cela pourrait être si simple quand ce n'est pas compliqué !, ou comment péter un câble en allant acheter pour la première fois une carte de bus à chacun de ses collégiens.
C'est bon, vous avez lu le bidule pour vous le remettre en mémoire ?
Il y a 2 semaines, un de mes gamins revient, pas fier du tout, du collège : "Maman, j'ai plus ma carte de bus"... KWoooooaaaaaaA ??? Aaaargh, ô rage ô désespoir, et tutti quanti tirez la bobinette et la margoulette se déhanchera (ou quelque chose dans le genre) !!! Un de ses copains a trouvé très drôle en effet de la lancer, sans faire exprès (!!), dans la gouttière du toit du gymnase.
Le CPE (= conseillé principal d'éducation, précision utile pour ceux qui en sont encore au stade des changements de couche-culottes) contacté par téléphone pour voir s'il y a moyen de grimper là-haut me laisse peu d'espoir. Mais il promet de passer un savon au gamin fautif (mais non, il est gentil ce gamin et en plus il propose spontanément de payer les frais, pas taper sur lui !) Je rencontre tout de même en perso le technicien qui confirme que la zone est inaccessible pour lui, vue la hauteur et la configuration du truc. Et pour arranger le tout, la pluie arrose généreusement dans la nuit. Donc c'est mort de ce côté-là.
Me voilà donc revenue à la case départ, après de nouveau pas mal de km au compteur de ma voiture et toute la paperasserie dans mon sac (même trop cette fois-ci... mais l'expérience a montré qu'il faut mieux prévoir l'imprévisible !) Surprise, une première carte se délivre de suite, mais pas la même carte dupliquée. Ben non, rappelons-nous bien que si c'est simple c'est pas assez compliqué ! Je rempoche donc mes 7 euros (oui, le bout de plastique et de papier prend 40% d'inflation quand il se clone tout pareil à l'original, heureusement qu'il ne faut pas re-payer aussi l'abonnement pour l'année !) et je repars avec une carte en carton qui sert de pass provisoire. Et quelques jour plus tard il faut se repointer au guichet pour enfin récupérer la nouvelle carte ! Yes, we can (et nous l'avons fait !)
Toute la question est de savoir maintenant combien de temps s'écoulera avant la prochaine perte...
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Mais encore...
Une info qui colle bien au thème que me transmet Ced... Postulez pour devenir le champion de France des râleurs 2011 !
Cliquez dessus pour plus d'infos
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Et aussi...
Lystig nous propose, en commentaire de cet article, de visiter la rubrique "râlouillage" de son blog. Autant publier ici le lien de façon visible pour tous :
Cliquez sur la banière pour accéder directement à la rubrique "râlouillage"
Idem pour Syl69. En plus de son blog rétro, elle nous invite à rendre visite au blog Oser le Dire qui lui sert de défouloir !